Langues, cultures, sciences sociales : connaître, apprendre et comprendre

Intercultures : trajectoires, , réseaux

pour consolider ensemble connaissances et compétences

partenariats

Fondatrice et directrice d’Intercultures, Virginie Laurent est docteure en sociologie (2001), formée à l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine (Paris). Elle a également obtenu une Licence de Langues Étrangères Appliquées (anglais-allemand). Pendant de nombreuses années, elle a exercé des activités d’enseignement et de recherche en France (Université Sorbonne Nouvelle), en Colombie (Institut Français d’Études Andines, Universidad de Los Andes) et aux États-Unis (New York University, Georgetown University). Par ailleurs, elle a assuré des cours de français langue étrangère au lycée Gimnasio Moderno de Bogota (Colombie), ainsi que des cours d’espagnol (tous niveaux) au sein de l’entreprise Complétude (France). Aujourd’hui, elle transmet son savoir-faire et ses connaissances auprès d’un public élargi.

Auteure de nombreuses publications, Virginie Laurent a été visiting scholar au Center for Latin American and Caribbean Studies – CLACS de la New York University (2018-2020) et professeure invitée de la Chaire de l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine – Université Sorbonne Nouvelle (2023). Elle est actuellement professeure associée au Département de Sciences Politiques et Études Globales de l’Université de Los Andes, membre du Democratizing Globalization Working Group (Bard College, Berlin), du Berlin Democracy Hub et du Grupo de Trabajo sobre las Resistencias Indígenas.

Ses recherches portent sur l’articulation entre identité(s), mouvements sociaux et représentation politique, notamment à partir de l’expérience des peuples autochtones en Colombie et en Amérique latine. Parallèlement, elle s’intéresse aux dynamiques de résistance et aux expressions du politique « depuis la rue » en Colombie, en France et aux États-Unis. Son offre de cours allie un encadrement méthodologique axé sur la construction et la réalisation de travaux de recherche et les thématiques politiques, sociales et culturelles. 

Au fil de sa trajectoire, elle a tissé des liens avec de multiples organisations, universités, centres de recherche et chercheur.e.s, qui enrichissent les interactions et les services proposés par le biais d’Intercultures.

Intercultures : une double expertise académique et linguistique

pour accompagner les apprenants et élargir les horizons

un groupe de chercheur.e.s associés à l'initiative

pour une ouverture au dialogue

des opportunités d'échanges auprès d'institutions clés

Bard College, Berlin, Allemagne

Center for Latin American and Caribbean Studies – CLACS, New York University – NYU, New York, États-Unis 

Center for Latin American Studies, Georgetown University, États-Unis

Departamento de Ciencia Política y Estudios Globales, Facultad de Ciencias Sociales, Universidad de Los Andes, Bogota, Colombie

Global Centre for Pluralism – GCP, Ottawa, Canada

Instituto Colombiano de Antropología e Historia – ICANH, Bogota, Colombie

Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine – IHEAL, Université Paris III – Sorbonne Nouvelle, Paris

Institut Français d’Études Andines – IFEA

North American Congress on Latin America – NACLA

Carlos AGUDELO

Carlos Agudelo fait preuve d'une expérience d’enseignement dans plusieurs universités en France et en Amérique centrale depuis 2002. Il a travaillé comme coordinateur régional du Centre d’Études Mexicaines et Centraméricaines – CEMCA entre 2007 et 2011. Il a également participé, en tant que chercheur et coordinateur, à plusieurs équipes et projets de recherche en France et en Amérique latine.

Membre actif de la Latin American Studies Association – LASA, il est actuellement chercheur associé à l'Unité mixte de recherche URMIS – Sociétés et Migrations (Université Paris VII, Université de Nice, CNRS et Institut de recherche pour le développement – IRD).

En plus de ses nombreuses participations à des événements scientifiques et à des actions de diffusion sur ses thématiques de spécialité, il a publié de nombreux articles dans des ouvrages collectifs et des revues scientifiques. Sa thèse doctorale a donné lieu à la publication des ouvrages Politique et populations noires en Colombie. Enjeux du multiculturalisme (Éditions L’Harmattan, Paris, 2004) et Retos del multiculturalismo en Colombia. Política y poblaciones negras (La Carreta, IRD, IEPRI, ICANH, Bogotá, 2005).

Depuis 2024, en tant que directeur régional académique de la Facultad Latinoamericana de Ciencias Sociales [Faculté latino-américaine de Sciences sociales] – FLACSO, il coordonne les politiques académiques régionales de l'institution au travers de la supervision de la qualité et de la cohérence des programmes de formation dans l’ensemble de ses antennes.

Voir : https://flacso.org/assets/img/secretaria-general/cvs/CV_CAgudelo_2024.pdf

Docteur en sociologie politique (Université de la Nouvelle Sorbonne – Paris III, 2002), Carlos Agudelo est spécialiste des questions de citoyenneté et de diversité : multiculturalisme, identités ethniques et culturelles en contexte de mondialisation, populations d’origine africaine en Amérique latine, formes d’action politique, participation citoyenne, conflits et violence, mouvements sociaux.

un groupe de chercheur.e.s associés à l'initiative

pour une ouverture au dialogue

Carlos AGUDELO

Carlos Agudelo fait preuve d'une expérience d’enseignement dans plusieurs universités en France et en Amérique centrale depuis 2002. Il a travaillé comme coordinateur régional du Centre d’Études Mexicaines et Centraméricaines – CEMCA entre 2007 et 2011. Il a également participé, en tant que chercheur et coordinateur, à plusieurs équipes et projets de recherche en France et en Amérique latine.

Membre actif de la Latin American Studies Association – LASA, il est actuellement chercheur associé à l'Unité mixte de recherche URMIS – Sociétés et Migrations (Université Paris VII, Université de Nice, CNRS et Institut de recherche pour le développement – IRD).

En plus de ses nombreuses participations à des événements scientifiques et à des actions de diffusion sur ses thématiques de spécialité, il a publié de nombreux articles dans des ouvrages collectifs et des revues scientifiques. Sa thèse doctorale a donné lieu à la publication des ouvrages Politique et populations noires en Colombie. Enjeux du multiculturalisme (Éditions L’Harmattan, Paris, 2004) et Retos del multiculturalismo en Colombia. Política y poblaciones negras (La Carreta, IRD, IEPRI, ICANH, Bogotá, 2005).

Depuis 2024, en tant que directeur régional académique de la Facultad Latinoamericana de Ciencias Sociales [Faculté latino-américaine de Sciences sociales] – FLACSO, il coordonne les politiques académiques régionales de l'institution au travers de la supervision de la qualité et de la cohérence des programmes de formation dans l’ensemble de ses antennes.

En savoir plus :

https://flacso.org/assets/img/secretaria-general/cvs/CV_CAgudelo_2024.pdf

Docteur en sociologie politique (Université de la Nouvelle Sorbonne – Paris III, 2002), Carlos Agudelo est spécialiste des questions de citoyenneté et de diversité : multiculturalisme, identités ethniques et culturelles en contexte de mondialisation, populations d’origine africaine en Amérique latine, formes d’action politique, participation citoyenne, conflits et violence, mouvements sociaux.

Élisabeth CUNIN

Docteure en sociologie de l’Université de Toulouse, Élisabeth Cunin est directrice de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement – IRD, membre de l’Unité de recherche Migrations et Société – URMIS depuis 2008 et du Centre international de recherche sur les esclavages – CIRESC depuis 2013.

À la croisée de l’anthropologie sociale, de l’histoire et de la sociologie politique, les travaux d'Élisabeth Cunin portent sur la construction des catégories ethnico-raciales dans les sociétés esclavagistes et post-esclavagistes, la citoyenneté et les politiques multiculturelles, ainsi que sur les usages sociaux et politiques des droits de l’homme en Amérique latine. Elle s’intéresse également aux circulations transnationales de savoirs, aux politiques migratoires et à la mise en scène des identités culturelles dans le tourisme et la musique.

Ses recherches de terrain l’ont conduite en Colombie, au Mexique, au Belize et au Costa Rica, ainsi qu’auprès d’organisations internationales (UNESCO, OIT, Instituto Indigenista Interamericano). Elle a par ailleurs mené une ethnographie de la Cour interaméricaine des droits de l’homme et travaillé sur la jurisprudence ethnique en Amérique latine.

En accueil au Centro de Investigación en Identidad y Cultura Latinoamericanas (Universidad de Costa Rica) de 2019 à 2024, elle a été coresponsable du GT3 « Circulation des savoirs, construction des régimes de légitimité et dynamiques des pouvoirs » du Laboratoire Mixte International MESO.

Elle participe actuellement à plusieurs programmes collectifs, dont la Chaire franco-costaricienne sur les défis sociaux et environnementaux (Université du Costa Rica – Université Côte d’Azur, 2022-2025) et le projet « Aires Marines Protégées entre conservation, tourisme et pêche » (Région Sud – Costa Rica, 2025-2027).

En savoir plus :

https://www.urmis.fr/elisabeth-cunin/

Margarita CHAVES

Élisabeth CUNIN

Spécialiste de l’anthropologie socioculturelle et politique, Margarita Chaves développe une approche croisant ethnographie de l’État, analyse des politiques publiques et étude des mobilisations collectives. Elle place la théorie et la méthodologie en anthropologie socioculturelle au centre de ses travaux.

Ses recherches examinent les effets des politiques de diversité culturelle sur les modes de reconnaissance et de participation citoyenne. Elle s’intéresse tout particulièrement aux dynamiques spatiales des communautés autochtones et afro-descendantes et à leurs relations avec l’État. Elle explore également les formes d’insertion de la différence ethnique dans les marchés de biens et services culturels et environnementaux, en contextes urbains et ruraux.

De manière plus spécifique, elle aborde les perspectives socio-anthropologiques du marché, de la consommation, de l’espace et de la mobilité, en mettant l’accent sur les espaces de production culturelle associés à l’activisme politique et aux politiques publiques au travers du paradigme de la diversité.

Par son approche critique, elle contribue à repenser les articulations entre anthropologie, politique et production culturelle dans la Colombie contemporaine.

En savoir plus :

https://www.researchgate.net/profile/Margarita-Chaves

https://scienti.minciencias.gov.co/cvlac/visualizador/generarCurriculoCv.do?cod_rh=0000017809

Docteure en anthropologie (Université de l’Illinois, États-Unis), Margarita Chaves est chercheure à l’Institut Colombien d’Anthropologie et d’Histoire (ICANH). Ses travaux portent sur les relations entre État, diversité culturelle et mouvements sociaux, ainsi que sur les dynamiques politiques et culturelles au sein de communautés autochtones et afro-descendantes.

À la croisée de l’anthropologie sociale, de l’histoire et de la sociologie politique, les travaux d'Élisabeth Cunin portent sur la construction des catégories ethnico-raciales dans les sociétés esclavagistes et post-esclavagistes, la citoyenneté et les politiques multiculturelles, ainsi que sur les usages sociaux et politiques des droits de l’homme en Amérique latine. Elle s’intéresse également aux circulations transnationales de savoirs, aux politiques migratoires et à la mise en scène des identités culturelles dans le tourisme et la musique.

Ses recherches de terrain l’ont conduite en Colombie, au Mexique, au Belize et au Costa Rica, ainsi qu’auprès d’organisations internationales (UNESCO, OIT, Instituto Indigenista Interamericano). Elle a par ailleurs mené une ethnographie de la Cour interaméricaine des droits de l’homme et travaillé sur la jurisprudence ethnique en Amérique latine.

En accueil au Centro de Investigación en Identidad y Cultura Latinoamericanas (Universidad de Costa Rica) de 2019 à 2024, elle a été coresponsable du GT3 « Circulation des savoirs, construction des régimes de légitimité et dynamiques des pouvoirs » du Laboratoire Mixte International MESO. Elle participe actuellement à plusieurs programmes collectifs, dont la Chaire franco-costaricienne sur les défis sociaux et environnementaux (Université du Costa Rica – Université Côte d’Azur, 2022-2025) et le projet « Aires Marines Protégées entre conservation, tourisme et pêche » (Région Sud – Costa Rica, 2025-2027).

En savoir plus :

https://www.urmis.fr/elisabeth-cunin/

Docteure en sociologie de l’Université de Toulouse, Élisabeth Cunin est directrice de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement – IRD, membre de l’Unité de recherche Migrations et Société – URMIS depuis 2008 et du Centre international de recherche sur les esclavages – CIRESC depuis 2013.

Margarita CHAVES

Mónica ESPINOSA

Spécialiste de l’anthropologie socioculturelle et politique, Margarita Chaves développe une approche croisant ethnographie de l’État, analyse des politiques publiques et étude des mobilisations collectives. Elle place la théorie et la méthodologie en anthropologie socioculturelle au centre de ses travaux.

Ses recherches examinent les effets des politiques de diversité culturelle sur les modes de reconnaissance et de participation citoyenne. Elle s’intéresse tout particulièrement aux dynamiques spatiales des communautés autochtones et afro-descendantes et à leurs relations avec l’État. Elle explore également les formes d’insertion de la différence ethnique dans les marchés de biens et services culturels et environnementaux, en contextes urbains et ruraux.

De manière plus spécifique, elle aborde les perspectives socio-anthropologiques du marché, de la consommation, de l’espace et de la mobilité, en mettant l’accent sur les espaces de production culturelle associés à l’activisme politique et aux politiques publiques au travers du paradigme de la diversité.

Par son approche critique, elle contribue à repenser les articulations entre anthropologie, politique et production culturelle dans la Colombie contemporaine.

En savoir plus :

https://www.researchgate.net/profile/Margarita-Chaves

https://scienti.minciencias.gov.co/cvlac/visualizador/generarCurriculoCv.do?cod_rh=0000017809

Docteure en anthropologie (Université de l’Illinois, États-Unis), Margarita Chaves est chercheure à l’Institut Colombien d’Anthropologie et d’Histoire (ICANH). Ses travaux portent sur les relations entre État, diversité culturelle et mouvements sociaux, ainsi que sur les dynamiques politiques et culturelles au sein de communautés autochtones et afro-descendantes.

Membre fondatrice du groupe Écologie Historique et Mémoire Sociale (EHMS) et à la tête du groupe Antropolítica, Mónica Espinosa a reçu la bourse Fulbright pour le bassin amazonien ainsi que la bourse Silvia Forman du Département d’anthropologie de l’Université du Massachusetts. Elle associe son intérêt pour l'anthropologie politique à un approfondissement de l’anthropologie environnementale et écologique.

Ses recherches portent notamment sur les subjectivités politiques autochtones en Colombie ; les relations entre violence et formation régionale de l’État-nation ; les liens entre politique et culture ; les mouvements sociaux autochtones du sud-ouest andin et leurs expériences de la démocratie ; les féminismes et les perspectives populaires et communautaires, en lien avec les enjeux de reconnaissance depuis le changement constitutionnel de 1991 – incluant une analyse comparative des dynamiques de reconnaissance et de redistribution entre peuples autochtones et communautés paysannes. Actuellement, elle développe une approche novatrice articulant anthropologie et écologie, en collaboration interdisciplinaire avec l’archéologie et la volcanologie. Elle travaille également à la production de dialogues interépistémiques sur les notions endogènes du climat.

De 2011 à 2015, elle a été rédactrice en chef de la revue Antípoda et, de 2016 à 2020, rédactrice associée en anthropologie de la revue Latin American Research Review (LARR). Elle a été élue trésorière du conseil exécutif de la Latin American Studies Association – LASA pour la période 2024-2026.

En savoir plus :

https://cienciassociales.uniandes.edu.co/antropologia/profesores/monica-espinosa/ 

Professeure associée au Département d'anthropologie de l'Université de Los Andes (Colombie), Mónica Espinosa est titulaire d’un doctorat de l’Université du Massachusetts (Amherst, États-Unis). Elle a consolidé son approche de la phénoménologie, de l’embodiment et de l’ethnographie multi-espèces, développant une perspective critique du tournant ontologique.

Cristina ECHEVERRI

Mónica ESPINOSA

Spécialiste de l’anthropologie socioculturelle et politique, Margarita Chaves développe une approche croisant ethnographie de l’État, analyse des politiques publiques et étude des mobilisations collectives. Elle place la théorie et la méthodologie en anthropologie socioculturelle au centre de ses travaux.

Ses recherches examinent les effets des politiques de diversité culturelle sur les modes de reconnaissance et de participation citoyenne. Elle s’intéresse tout particulièrement aux dynamiques spatiales des communautés autochtones et afro-descendantes et à leurs relations avec l’État. Elle explore également les formes d’insertion de la différence ethnique dans les marchés de biens et services culturels et environnementaux, en contextes urbains et ruraux.

De manière plus spécifique, elle aborde les perspectives socio-anthropologiques du marché, de la consommation, de l’espace et de la mobilité, en mettant l’accent sur les espaces de production culturelle associés à l’activisme politique et aux politiques publiques au travers du paradigme de la diversité.

Par son approche critique, elle contribue à repenser les articulations entre anthropologie, politique et production culturelle dans la Colombie contemporaine.

En savoir plus :

https://www.researchgate.net/profile/Margarita-Chaves

https://scienti.minciencias.gov.co/cvlac/visualizador/generarCurriculoCv.do?cod_rh=0000017809

Docteure en anthropologie (Université de l’Illinois, États-Unis), Margarita Chaves est chercheure à l’Institut Colombien d’Anthropologie et d’Histoire (ICANH). Ses travaux portent sur les relations entre État, diversité culturelle et mouvements sociaux, ainsi que sur les dynamiques politiques et culturelles au sein de communautés autochtones et afro-descendantes.

Membre fondatrice du groupe Écologie Historique et Mémoire Sociale (EHMS) et à la tête du groupe Antropolítica, Mónica Espinosa a reçu la bourse Fulbright pour le bassin amazonien ainsi que la bourse Silvia Forman du Département d’anthropologie de l’Université du Massachusetts. Elle associe son intérêt pour l'anthropologie politique à un approfondissement de l’anthropologie environnementale et écologique.

Ses recherches portent notamment sur les subjectivités politiques autochtones en Colombie ; les relations entre violence et formation régionale de l’État-nation ; les liens entre politique et culture ; les mouvements sociaux autochtones du sud-ouest andin et leurs expériences de la démocratie ; les féminismes et les perspectives populaires et communautaires, en lien avec les enjeux de reconnaissance depuis le changement constitutionnel de 1991 – incluant une analyse comparative des dynamiques de reconnaissance et de redistribution entre peuples autochtones et communautés paysannes. Actuellement, elle développe une approche novatrice articulant anthropologie et écologie, en collaboration interdisciplinaire avec l’archéologie et la volcanologie. Elle travaille également à la production de dialogues interépistémiques sur les notions endogènes du climat.

De 2011 à 2015, elle a été rédactrice en chef de la revue Antípoda et, de 2016 à 2020, rédactrice associée en anthropologie de la revue Latin American Research Review (LARR). Elle a été élue trésorière du conseil exécutif de la Latin American Studies Association – LASA pour la période 2024-2026.

En savoir plus :

https://cienciassociales.uniandes.edu.co/antropologia/profesores/monica-espinosa/ 

Professeure associée au Département d'anthropologie de l'Université de Los Andes (Colombie), Mónica Espinosa est titulaire d’un doctorat de l’Université du Massachusetts (Amherst, États-Unis). Elle a consolidé son approche de la phénoménologie, de l’embodiment et de l’ethnographie multi-espèces, développant une perspective critique du tournant ontologique.

Cristina ECHEVERRI

Mónica ESPINOSA

Spécialiste de l’anthropologie socioculturelle et politique, Margarita Chaves développe une approche croisant ethnographie de l’État, analyse des politiques publiques et étude des mobilisations collectives. Elle place la théorie et la méthodologie en anthropologie socioculturelle au centre de ses travaux.

Ses recherches examinent les effets des politiques de diversité culturelle sur les modes de reconnaissance et de participation citoyenne. Elle s’intéresse tout particulièrement aux dynamiques spatiales des communautés autochtones et afro-descendantes et à leurs relations avec l’État. Elle explore également les formes d’insertion de la différence ethnique dans les marchés de biens et services culturels et environnementaux, en contextes urbains et ruraux.

De manière plus spécifique, elle aborde les perspectives socio-anthropologiques du marché, de la consommation, de l’espace et de la mobilité, en mettant l’accent sur les espaces de production culturelle associés à l’activisme politique et aux politiques publiques au travers du paradigme de la diversité.

Par son approche critique, elle contribue à repenser les articulations entre anthropologie, politique et production culturelle dans la Colombie contemporaine.

En savoir plus :

https://www.researchgate.net/profile/Margarita-Chaves

https://scienti.minciencias.gov.co/cvlac/visualizador/generarCurriculoCv.do?cod_rh=0000017809

Docteure en anthropologie (Université de l’Illinois, États-Unis), Margarita Chaves est chercheure à l’Institut Colombien d’Anthropologie et d’Histoire (ICANH). Ses travaux portent sur les relations entre État, diversité culturelle et mouvements sociaux, ainsi que sur les dynamiques politiques et culturelles au sein de communautés autochtones et afro-descendantes.

Membre fondatrice du groupe Écologie Historique et Mémoire Sociale (EHMS) et à la tête du groupe Antropolítica, Mónica Espinosa a reçu la bourse Fulbright pour le bassin amazonien ainsi que la bourse Silvia Forman du Département d’anthropologie de l’Université du Massachusetts. Elle associe son intérêt pour l'anthropologie politique à un approfondissement de l’anthropologie environnementale et écologique.

Ses recherches portent notamment sur les subjectivités politiques autochtones en Colombie ; les relations entre violence et formation régionale de l’État-nation ; les liens entre politique et culture ; les mouvements sociaux autochtones du sud-ouest andin et leurs expériences de la démocratie ; les féminismes et les perspectives populaires et communautaires, en lien avec les enjeux de reconnaissance depuis le changement constitutionnel de 1991 – incluant une analyse comparative des dynamiques de reconnaissance et de redistribution entre peuples autochtones et communautés paysannes. Actuellement, elle développe une approche novatrice articulant anthropologie et écologie, en collaboration interdisciplinaire avec l’archéologie et la volcanologie. Elle travaille également à la production de dialogues interépistémiques sur les notions endogènes du climat.

De 2011 à 2015, elle a été rédactrice en chef de la revue Antípoda et, de 2016 à 2020, rédactrice associée en anthropologie de la revue Latin American Research Review (LARR). Elle a été élue trésorière du conseil exécutif de la Latin American Studies Association – LASA pour la période 2024-2026.

En savoir plus :

https://cienciassociales.uniandes.edu.co/antropologia/profesores/monica-espinosa/ 

Professeure associée au Département d'anthropologie de l'Université de Los Andes (Colombie), Mónica Espinosa est titulaire d’un doctorat de l’Université du Massachusetts (Amherst, États-Unis). Elle a consolidé son approche de la phénoménologie, de l’embodiment et de l’ethnographie multi-espèces, développant une perspective critique du tournant ontologique.

Bret GUSTAFSON

Docteur en anthropologie (Université de Harvard, États-Unis), Bret Gustafson est professeur à la Washington University de Saint Louis (États-Unis). À l'entrecroisement de l'anthropologie sociale et de l'anthropologie politique, ses travaux portent sur les questions de politiques culturelles, linguistiques et climatiques, de même que sur les  énergies fossiles et la transition énergétique, principalement en Amérique latine et aux États-Unis.

Pendant de nombreuses années, Bret Gustafson a travaillé avec l’Assemblée du peuple guarani en Bolivie. Ses premières recherches se sont concentré sur la revitalisation de la langue guarani et sur l’éducation, à travers une collaboration avec des linguistes, des enseignants et des responsables guaranis.

Ces travaux ont donné lieu à plusieurs projets collectifs et à la publication de l’ouvrage New Languages of the State: Indigenous Resurgence and the Politics of Knowledge in Bolivia (Duke, 2009). Il continue aujourd’hui à mener des recherches et à publier sur la langue guarani, ainsi que sur les langues et l’éducation autochtones en Amérique latine.

Face à l’impact du développement du gaz naturel sur le territoire guarani, il a ouvert une nouvelle ligne de recherche sur la politique de l’énergie, le changement climatique et l’extractivisme, à travers l’exemple du boom gazier en Bolivie. Une partie de ces travaux a été publiée dans l’ouvrage Bolivia in the Age of Gas (Duke, 2020). Son intérêt pour les énergies fossiles l’a également conduit à enseigner et à mener des recherches sur les enjeux liés aux combustibles fossiles et à la transition énergétique aux États-Unis.

En savoir plus :

https://sites.wustl.edu/bgustafson/

Docteur en science politique et relations internationales de l’Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine (Paris III), Frédéric Massé travaille en Colombie depuis plus de 28 ans. Spécialiste du conflit armé et du processus de paix dans ce pays, il a publié de nombreux articles sur ces questions.

Frédéric Massé a été coordinateur de l’Institut des Hautes Études pour le Développement de Bogotá, directeur du doctorat d’études politiques, puis du Centre de Recherches et Projets Spéciaux – CIPE de l’Université Externado de Colombie, et directeur du département Désarmement-Démobilisation-Réintégration du Centre de Toledo pour la Paix (CITpax) à Bogota.

Depuis 2019, il codirige Red CORAL – Red de Monitoreo del Crimen Organizado en America Latina, un réseau de recherche et de monitoring du crime organisé en Amérique latine.

Il a également été consultant pour différentes ONG et fondations Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives – ITIE, DCAF - Geneva Centre for Security Sector Governance, Natural Resource Governance Institute – NRGI, International Code of Conduct Association – ICoCA…), organisations internationales (OCDE, Nations Unies, Union Européenne) et gouvernements. Par ailleurs, il est membre du conseil d’administration d’un fonds d’investissement pour la paix, ainsi que membre du jury du Prix Emprender Paz en faveur d’initiatives entrepreneuriales pour la paix en Colombie.

En savoir plus :

https://www.linkedin.com/in/frédéric-massé-phd-83310b1b/

Frédéric MASSÉ

des opportunités d'échanges auprès d'institutions clés

Center for Latin American and Caribbean Studies – CLACS, New York University – NYU, New York, États-Unis 

Center for Latin American Studies, Georgetown University, États-Unis

Departamento de Ciencia Política y Estudios Globales, Facultad de Ciencias Sociales, Universidad de Los Andes, Bogota, Colombie

Global Centre for Pluralism – GCP, Ottawa, Canada

Instituto Colombiano de Antropología e Historia – ICANH, Bogota, Colombie

Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine – IHEAL, Université Paris III – Sorbonne Nouvelle, Paris

Institut Français d’Études Andines – IFEA

North American Congress on Latin America – NACLA

des opportunités d'échanges auprès d'institutions clés

Bard College, Berlin, Allemagne

Center for Latin American and Caribbean Studies – CLACS, New York University – NYU, New York, États-Unis 

Center for Latin American Studies, Georgetown University, États-Unis

Departamento de Ciencia Política y Estudios Globales, Facultad de Ciencias Sociales, Universidad de Los Andes, Bogota, Colombie

Facultad Latinoamericana de Ciencias Sociales – FLACSO

Global Centre for Pluralism – GCP, Ottawa, Canada

Instituto Colombiano de Antropología e Historia – ICANH, Bogota, Colombie

Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine – IHEAL, Université Paris III – Sorbonne Nouvelle, Paris

Institut Français d’Études Andines – IFEA

North American Congress on Latin America – NACLA

 un groupe de professeur.e.s et chercheur.e.s associé.e.s à l'initiative pour une ouverture au dialogue

Virginie LAURENT

Fondatrice et directrice d’Intercultures, Virginie Laurent est docteure en sociologie, formée à l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine (Paris). Elle a également obtenu une Licence de Langues Étrangères Appliquées (anglais-allemand). Pendant de nombreuses années, elle a exercé des activités d’enseignement et de recherche en France (Université Sorbonne Nouvelle), en Colombie (Institut Français d’Études Andines, Universidad de Los Andes) et aux États-Unis (New York University, Georgetown University). Par ailleurs, elle a assuré des cours de français langue étrangère au lycée Gimnasio Moderno de Bogota (Colombie), ainsi que des cours d’espagnol (tous niveaux) au sein de l’entreprise Complétude (France). Aujourd’hui, elle souhaite transmettre son savoir-faire et ses connaissances auprès d’un public élargi.

Auteure de nombreuses publications, Virginie Laurent a été visiting scholar au Center for Latin American and Caribbean Studies – CLACS de la New York University (2018-2020) et professeure invitée de la Chaire de l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine – Université Sorbonne Nouvelle (2023). Elle est actuellement professeure associée au Département de Sciences Politiques et d'Études Globales de l’Université de Los Andes, membre du Democratizing Globalization Working Group (Bard College, Berlin), du Berlin Democracy Hub et du Grupo de Trabajo sobre las Resistencias Indígenas.

Ses recherches portent sur l’articulation entre identité(s), mouvements sociaux et représentation politique, en particulier à partir de l’expérience des peuples autochtones en Colombie et en Amérique latine. Parallèlement, elle s’intéresse aux dynamiques de résistance et aux expressions de la politique « depuis la rue » en Colombie, en France et aux États-Unis. Son offre de cours dans le domaine des sciences humaines et sociales allie un encadrement méthodologique axé sur la construction et la réalisation de travaux de recherche et les thématiques politiques, sociales et culturelles.

des opportunités d'échanges avec des institutions clés

Bard College, Berlin, Allemagne

Center for Latin American and Caribbean Studies – CLACS, New York University – NYU, New York, États-Unis 

Center for Latin American Studies, Georgetown University, États-Unis

Departamento de Ciencia Política y Estudios Globales, Facultad de Ciencias Sociales, Universidad de Los Andes, Bogota, Colombie

Facultad Latinoamericana de Ciencias Sociales – FLACSO

Global Centre for Pluralism – GCP, Ottawa, Canada

Instituto Colombiano de Antropología e Historia – ICANH, Bogota, Colombie

Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine – IHEAL, Université Paris III – Sorbonne Nouvelle, Paris

Institut Français d’Études Andines – IFEA

North American Congress on Latin America – NACLA

Carlos AGUDELO

Docteur en sociologie politique (Université de la Nouvelle Sorbonne – Paris III, 2002), Carlos Agudelo est spécialiste des questions de citoyenneté et de diversité : multiculturalisme, identités ethniques et culturelles en contexte de mondialisation, populations d’origine africaine en Amérique latine, formes d’action politique, participation citoyenne, conflits et violence, mouvements sociaux.

Carlos Agudelo fait preuve d'une expérience d’enseignement dans plusieurs universités en France et en Amérique centrale depuis 2002. Il a travaillé comme coordinateur régional du Centre d’Études Mexicaines et Centraméricaines – CEMCA entre 2007 et 2011. Il a également participé, en tant que chercheur et coordinateur, à plusieurs équipes et projets de recherche en France et en Amérique latine.

Membre actif de la Latin American Studies Association – LASA, il est actuellement chercheur associé à l'Unité mixte de recherche URMIS – Sociétés et Migrations (Université Paris VII, Université de Nice, CNRS et Institut de recherche pour le développement – IRD).

En plus de ses nombreuses participations à des événements scientifiques et à des actions de diffusion sur ses thématiques de spécialité, il a publié de nombreux articles dans des ouvrages collectifs et des revues scientifiques. Sa thèse doctorale a donné lieu à la publication des ouvrages Politique et populations noires en Colombie. Enjeux du multiculturalisme (Éditions L’Harmattan, Paris, 2004) et Retos del multiculturalismo en Colombia. Política y poblaciones negras (La Carreta, IRD, IEPRI, ICANH, Bogotá, 2005).

Depuis 2024, en tant que directeur régional académique de la Facultad Latinoamericana de Ciencias Sociales [Faculté latino-américaine de Sciences sociales] – FLACSO, il coordonne les politiques académiques régionales de l'institution au travers de la supervision de la qualité et de la cohérence des programmes de formation dans l’ensemble de ses antennes.

Voir : https://flacso.org/assets/img/secretaria-general/cvs/CV_CAgudelo_2024.pdf

Margarita CHAVES

Mónica ESPINOSA

Spécialiste de l’anthropologie socioculturelle et politique, Margarita Chaves développe une approche croisant ethnographie de l’État, analyse des politiques publiques et étude des mobilisations collectives. Elle place la théorie et la méthodologie en anthropologie socioculturelle au centre de ses travaux.

Ses recherches examinent les effets des politiques de diversité culturelle sur les modes de reconnaissance et de participation citoyenne. Elle s’intéresse tout particulièrement aux dynamiques spatiales des communautés autochtones et afro-descendantes et à leurs relations avec l’État. Elle explore également les formes d’insertion de la différence ethnique dans les marchés de biens et services culturels et environnementaux, en contextes urbains et ruraux.

De manière plus spécifique, elle aborde les perspectives socio-anthropologiques du marché, de la consommation, de l’espace et de la mobilité, en mettant l’accent sur les espaces de production culturelle associés à l’activisme politique et aux politiques publiques au travers du paradigme de la diversité.

Par son approche critique, elle contribue à repenser les articulations entre anthropologie, politique et production culturelle dans la Colombie contemporaine.

En savoir plus :

https://www.researchgate.net/profile/Margarita-Chaves

https://scienti.minciencias.gov.co/cvlac/visualizador/generarCurriculoCv.do?cod_rh=0000017809

Docteure en anthropologie (Université de l’Illinois, États-Unis), Margarita Chaves est chercheure à l’Institut Colombien d’Anthropologie et d’Histoire (ICANH). Ses travaux portent sur les relations entre État, diversité culturelle et mouvements sociaux, ainsi que sur les dynamiques politiques et culturelles au sein de communautés autochtones et afro-descendantes.

Membre fondatrice du groupe Écologie Historique et Mémoire Sociale (EHMS) et à la tête du groupe Antropolítica, Mónica Espinosa a reçu la bourse Fulbright pour le bassin amazonien ainsi que la bourse Silvia Forman du Département d’anthropologie de l’Université du Massachusetts. Elle associe son intérêt pour l'anthropologie politique à un approfondissement de l’anthropologie environnementale et écologique.

Ses recherches portent notamment sur les subjectivités politiques autochtones en Colombie ; les relations entre violence et formation régionale de l’État-nation ; les liens entre politique et culture ; les mouvements sociaux autochtones du sud-ouest andin et leurs expériences de la démocratie ; les féminismes et les perspectives populaires et communautaires, en lien avec les enjeux de reconnaissance depuis le changement constitutionnel de 1991 – incluant une analyse comparative des dynamiques de reconnaissance et de redistribution entre peuples autochtones et communautés paysannes. Actuellement, elle développe une approche novatrice articulant anthropologie et écologie, en collaboration interdisciplinaire avec l’archéologie et la volcanologie. Elle travaille également à la production de dialogues interépistémiques sur les notions endogènes du climat.

De 2011 à 2015, elle a été rédactrice en chef de la revue Antípoda et, de 2016 à 2020, rédactrice associée en anthropologie de la revue Latin American Research Review (LARR). Elle a été élue trésorière du conseil exécutif de la Latin American Studies Association – LASA pour la période 2024-2026.

En savoir plus :

https://cienciassociales.uniandes.edu.co/antropologia/profesores/monica-espinosa/ 

Professeure associée au Département d'anthropologie de l'Université de Los Andes (Colombie), Mónica Espinosa est titulaire d’un doctorat de l’Université du Massachusetts (Amherst, États-Unis). Elle a consolidé son approche de la phénoménologie, de l’embodiment et de l’ethnographie multi-espèces, développant une perspective critique du tournant ontologique.

Docteur en anthropologie (Université de Harvard, États-Unis), Bret Gustafson est professeur à la Washington University de Saint Louis (États-Unis). À l'entrecroisement de l'anthropologie sociale et de l'anthropologie politique, ses travaux portent sur les questions de politiques culturelles, linguistiques et climatiques, de même que sur les  énergies fossiles et la transition énergétique, principalement en Amérique latine et aux États-Unis.

Bret GUSTAFSON

Pendant de nombreuses années, Bret Gustafson a travaillé avec l’Assemblée du peuple guarani en Bolivie. Ses premières recherches se sont concentré sur la revitalisation de la langue guarani et sur l’éducation, à travers une collaboration avec des linguistes, des enseignants et des responsables guaranis.

Ces travaux ont donné lieu à plusieurs projets collectifs et à la publication de l’ouvrage New Languages of the State: Indigenous Resurgence and the Politics of Knowledge in Bolivia (Duke, 2009). Il continue aujourd’hui à mener des recherches et à publier sur la langue guarani, ainsi que sur les langues et l’éducation autochtones en Amérique latine.

Face à l’impact du développement du gaz naturel sur le territoire guarani, il a ouvert une nouvelle ligne de recherche sur la politique de l’énergie, le changement climatique et l’extractivisme, à travers l’exemple du boom gazier en Bolivie. Une partie de ces travaux a été publiée dans l’ouvrage Bolivia in the Age of Gas (Duke, 2020). Son intérêt pour les énergies fossiles l’a également conduit à enseigner et à mener des recherches sur les enjeux liés aux combustibles fossiles et à la transition énergétique aux États-Unis.

En savoir plus :

https://sites.wustl.edu/bgustafson/

Docteur en science politique et relations internationales de l’Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine (Paris III), Frédéric Massé travaille en Colombie depuis plus de 28 ans. Spécialiste du conflit armé et du processus de paix dans ce pays, il a publié de nombreux articles sur ces questions.

Frédéric Massé a été coordinateur de l’Institut des Hautes Études pour le Développement de Bogotá, directeur du doctorat d’études politiques, puis du Centre de Recherches et Projets Spéciaux – CIPE de l’Université Externado de Colombie, et directeur du département Désarmement-Démobilisation-Réintégration du Centre de Toledo pour la Paix (CITpax) à Bogota.

Depuis 2019, il codirige Red CORAL – Red de Monitoreo del Crimen Organizado en America Latina, un réseau de recherche et de monitoring du crime organisé en Amérique latine.

Il a également été consultant pour différentes ONG et fondations Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives – ITIE, DCAF - Geneva Centre for Security Sector Governance, Natural Resource Governance Institute – NRGI, International Code of Conduct Association – ICoCA…), organisations internationales (OCDE, Nations Unies, Union Européenne) et gouvernements. Par ailleurs, il est membre du conseil d’administration d’un fonds d’investissement pour la paix, ainsi que membre du jury du Prix Emprender Paz en faveur d’initiatives entrepreneuriales pour la paix en Colombie.

En savoir plus :

https://www.linkedin.com/in/frédéric-massé-phd-83310b1b/

Frédéric MASSÉ

Virginie LAURENT

Fondatrice et directrice d’Intercultures, Virginie Laurent est docteure en sociologie (2001), formée à l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine (Paris). Elle a également obtenu une Licence de Langues Étrangères Appliquées (anglais-allemand). Pendant de nombreuses années, elle a exercé des activités d’enseignement et de recherche en France (Université Sorbonne Nouvelle), en Colombie (Institut Français d’Études Andines, Universidad de Los Andes) et aux États-Unis (New York University, Georgetown University). Par ailleurs, elle assuré des cours de français langue étrangère au lycée Gimnasio Moderno de Bogota (Colombie), ainsi que des cours d’espagnol (tous niveaux) au sein de l’entreprise Complétude (France). Aujourd’hui, elle souhaite transmettre son savoir-faire et ses connaissances auprès d’un public élargi.

Auteure de nombreuses publications, Virginie Laurent a été visiting scholar au Center for Latin American and Caribbean Studies – CLACS de la New York University (2018-2020) et professeure invitée de la Chaire de l’Institut des Hautes Études de l’Amérique latine – Université Sorbonne Nouvelle (2023). Elle est actuellement professeure associée au Département de Sciences Politiques et Études Globales de l’Université de Los Andes, membre du Democratizing Globalization Working Group (Bard College, Berlin), du Berlin Democracy Hub et du Grupo de Trabajo sobre las Resistencias Indígenas.

Ses recherches portent sur l’articulation entre identité(s), mouvements sociaux et représentation politique, en particulier à partir de l’expérience des peuples autochtones en Colombie et en Amérique latine. Parallèlement, elle s’intéresse aux dynamiques de résistance et aux expressions de la politique « depuis la rue » en Colombie, en France et aux États-Unis. Son offre de cours allie un encadrement méthodologique axé sur la construction et la réalisation de travaux de recherche et les thématiques politiques, sociales et culturelles.

Au fil de sa trajectoire, elle a tissé des liens avec de multiples organisations, universités, centres de recherche et chercheur.e.s, qui enrichissent les interactions et les services proposés par le biais d’Intercultures.

Trajectoires et partenariats

un groupe de chercheur.e.s associés à l'initiative

pour une ouverture au dialogue

des opportunités d'échanges avec des institutions clés

Bard College, Berlin, Allemagne

Center for Latin American and Caribbean Studies – CLACS, New York University – NYU, New York, États-Unis 

Center for Latin American Studies, Georgetown University, États-Unis

Departamento de Ciencia Política y Estudios Globales, Facultad de Ciencias Sociales, Universidad de Los Andes, Bogota, Colombie

Global Centre for Pluralism – GCP, Ottawa, Canada

Instituto Colombiano de Antropología e Historia – ICANH, Bogota, Colombie

Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine – IHEAL, Université Paris III – Sorbonne Nouvelle, Paris

Institut Français d’Études Andines – IFEA

Carlos AGUDELO

Carlos Agudelo fait preuve d'une expérience d’enseignement dans plusieurs universités en France et en Amérique centrale depuis 2002. Il a travaillé comme coordinateur régional du Centre d’Études Mexicaines et Centraméricaines – CEMCA entre 2007 et 2011. Il a également participé, en tant que chercheur et coordinateur, à plusieurs équipes et projets de recherche en France et en Amérique latine.

Membre actif de la Latin American Studies Association – LASA, il est actuellement chercheur associé à l'Unité mixte de recherche URMIS – Sociétés et Migrations (Université Paris VII, Université de Nice, CNRS et Institut de recherche pour le développement – IRD).

En plus de ses nombreuses participations à des événements scientifiques et à des actions de diffusion sur ses thématiques de spécialité, il a publié de nombreux articles dans des ouvrages collectifs et des revues scientifiques. Sa thèse doctorale a donné lieu à la publication des ouvrages Politique et populations noires en Colombie. Enjeux du multiculturalisme (Éditions L’Harmattan, Paris, 2004) et Retos del multiculturalismo en Colombia. Política y poblaciones negras (La Carreta, IRD, IEPRI, ICANH, Bogotá, 2005).

Depuis 2024, en tant que directeur régional académique de la Facultad Latinoamericana de Ciencias Sociales [Faculté latino-américaine de Sciences sociales] – FLACSO, il coordonne les politiques académiques régionales de l'institution au travers de la supervision de la qualité et de la cohérence des programmes de formation dans l’ensemble de ses antennes.

Voir : https://flacso.org/assets/img/secretaria-general/cvs/CV_CAgudelo_2024.pdf

Docteur en sociologie politique (Université de la Nouvelle Sorbonne – Paris III, 2002), Carlos Agudelo est spécialiste des questions de citoyenneté et de diversité : multiculturalisme, identités ethniques et culturelles en contexte de mondialisation, populations d’origine africaine en Amérique latine, formes d’action politique, participation citoyenne, conflits et violence, mouvements sociaux.

Margarita CHAVES

Mónica ESPINOSA

Spécialiste de l’anthropologie socioculturelle et politique, Margarita Chaves développe une approche croisant ethnographie de l’État, analyse des politiques publiques et étude des mobilisations collectives. Elle place la théorie et la méthodologie en anthropologie socioculturelle au centre de ses travaux.

Ses recherches examinent les effets des politiques de diversité culturelle sur les modes de reconnaissance et de participation citoyenne. Elle s’intéresse tout particulièrement aux dynamiques spatiales des communautés autochtones et afro-descendantes et à leurs relations avec l’État. Elle explore également les formes d’insertion de la différence ethnique dans les marchés de biens et services culturels et environnementaux, en contextes urbains et ruraux.

De manière plus spécifique, elle aborde les perspectives socio-anthropologiques du marché, de la consommation, de l’espace et de la mobilité, en mettant l’accent sur les espaces de production culturelle associés à l’activisme politique et aux politiques publiques au travers du paradigme de la diversité.

Par son approche critique, elle contribue à repenser les articulations entre anthropologie, politique et production culturelle dans la Colombie contemporaine.

En savoir plus :

https://www.researchgate.net/profile/Margarita-Chaves

https://scienti.minciencias.gov.co/cvlac/visualizador/generarCurriculoCv.do?cod_rh=0000017809

Docteure en anthropologie (Université de l’Illinois, États-Unis), Margarita Chaves est chercheure à l’Institut Colombien d’Anthropologie et d’Histoire (ICANH). Ses travaux portent sur les relations entre État, diversité culturelle et mouvements sociaux, ainsi que sur les dynamiques politiques et culturelles au sein de communautés autochtones et afro-descendantes.

Membre fondatrice du groupe Écologie Historique et Mémoire Sociale (EHMS) et à la tête du groupe Antropolítica, Mónica Espinosa a reçu la bourse Fulbright pour le bassin amazonien ainsi que la bourse Silvia Forman du Département d’anthropologie de l’Université du Massachusetts. Elle associe son intérêt pour l'anthropologie politique à un approfondissement de l’anthropologie environnementale et écologique.

Ses recherches portent notamment sur les subjectivités politiques autochtones en Colombie ; les relations entre violence et formation régionale de l’État-nation ; les liens entre politique et culture ; les mouvements sociaux autochtones du sud-ouest andin et leurs expériences de la démocratie ; les féminismes et les perspectives populaires et communautaires, en lien avec les enjeux de reconnaissance depuis le changement constitutionnel de 1991 – incluant une analyse comparative des dynamiques de reconnaissance et de redistribution entre peuples autochtones et communautés paysannes. Actuellement, elle développe une approche novatrice articulant anthropologie et écologie, en collaboration interdisciplinaire avec l’archéologie et la volcanologie. Elle travaille également à la production de dialogues interépistémiques sur les notions endogènes du climat.

De 2011 à 2015, elle a été rédactrice en chef de la revue Antípoda et, de 2016 à 2020, rédactrice associée en anthropologie de la revue Latin American Research Review (LARR). Elle a été élue trésorière du conseil exécutif de la Latin American Studies Association – LASA pour la période 2024-2026.

En savoir plus :

https://cienciassociales.uniandes.edu.co/antropologia/profesores/monica-espinosa/ 

Professeure associée au Département d'anthropologie de l'Université de Los Andes (Colombie), Mónica Espinosa est titulaire d’un doctorat de l’Université du Massachusetts (Amherst, États-Unis). Elle a consolidé son approche de la phénoménologie, de l’embodiment et de l’ethnographie multi-espèces, développant une perspective critique du tournant ontologique.

Docteur en anthropologie (Université de Harvard, États-Unis), Bret Gustafson est professeur à la Washington University de Saint Louis (États-Unis). À l'entrecroisement de l'anthropologie sociale et de l'anthropologie politique, ses travaux portent sur les questions de politiques culturelles, linguistiques et climatiques, de même que sur les  énergies fossiles et la transition énergétique, principalement en Amérique latine et aux États-Unis.

Bret GUSTAFSON

Pendant de nombreuses années, Bret Gustafson a travaillé avec l’Assemblée du peuple guarani en Bolivie. Ses premières recherches se sont concentré sur la revitalisation de la langue guarani et sur l’éducation, à travers une collaboration avec des linguistes, des enseignants et des responsables guaranis.

Ces travaux ont donné lieu à plusieurs projets collectifs et à la publication de l’ouvrage New Languages of the State: Indigenous Resurgence and the Politics of Knowledge in Bolivia (Duke, 2009). Il continue aujourd’hui à mener des recherches et à publier sur la langue guarani, ainsi que sur les langues et l’éducation autochtones en Amérique latine.

Face à l’impact du développement du gaz naturel sur le territoire guarani, il a ouvert une nouvelle ligne de recherche sur la politique de l’énergie, le changement climatique et l’extractivisme, à travers l’exemple du boom gazier en Bolivie. Une partie de ces travaux a été publiée dans l’ouvrage Bolivia in the Age of Gas (Duke, 2020). Son intérêt pour les énergies fossiles l’a également conduit à enseigner et à mener des recherches sur les enjeux liés aux combustibles fossiles et à la transition énergétique aux États-Unis.

En savoir plus :

https://sites.wustl.edu/bgustafson/

Docteur en science politique et relations internationales de l’Institut des Hautes Études de l’Amérique Latine (Paris III), Frédéric Massé travaille en Colombie depuis plus de 28 ans. Spécialiste du conflit armé et du processus de paix dans ce pays, il a publié de nombreux articles sur ces questions.

Frédéric Massé a été coordinateur de l’Institut des Hautes Études pour le Développement de Bogotá, directeur du doctorat d’études politiques, puis du Centre de Recherches et Projets Spéciaux – CIPE de l’Université Externado de Colombie, et directeur du département Désarmement-Démobilisation-Réintégration du Centre de Toledo pour la Paix (CITpax) à Bogota.

Depuis 2019, il codirige Red CORAL – Red de Monitoreo del Crimen Organizado en America Latina, un réseau de recherche et de monitoring du crime organisé en Amérique latine.

Il a également été consultant pour différentes ONG et fondations Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives – ITIE, DCAF - Geneva Centre for Security Sector Governance, Natural Resource Governance Institute – NRGI, International Code of Conduct Association – ICoCA…), organisations internationales (OCDE, Nations Unies, Union Européenne) et gouvernements. Par ailleurs, il est membre du conseil d’administration d’un fonds d’investissement pour la paix, ainsi que membre du jury du Prix Emprender Paz en faveur d’initiatives entrepreneuriales pour la paix en Colombie.

En savoir plus :

https://www.linkedin.com/in/frédéric-massé-phd-83310b1b/

Frédéric MASSÉ

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